Il ne faut clairement pas prendre ça à la légère ! Et les poteaux ne devraient se trouver qu’en bord de route ! Pas très glorieux d’avoir les chevilles qui débordent de ses stilettos ou de gonfler comme un ballon sous le soleil estival ! On ne va pas se le cacher, c’est quand même plus cool de marcher sur des petits nuages !
18 millions d’adultes se plaignent de lourdeurs dans les jambes
70% de femmes sont concernées par les sensations jambes lourdes
6 sur 10 français sont considérés comme à risque
En savoir plus675 mg/j d’extraits secs bio
75 mg/j d’huiles essentielles bio
100 mg/j de macérâts-mères de bourgeons bio
Substances actives microencapsulées
A avaler avec un grand verre d’eau
1 à 2 gélules par jour.
Ingrédients (pour 2 gélules soit 1 066 mg) : 300 mg d’extrait sec de feuille de vigne rouge bio (Vitis vinifera) 5/1 ; 150 mg de d’extrait sec de feuille de Ginkgo biloba bio 5/1 ; 150 mg d’extrait sec de racine de petit houx bio (Ruscus aculeatus) 4/1 ; 75 mg d’extrait sec de plante de piloselle bio (Hieracium pilosella) 5/1 ; 50 mg d’huile essentielle de péricarpe de citron bio (Citrus limon) ; 25 mg d’huile essentielle de feuille de laurier noble bio (Laurus nobilis) ; 50 mg de macérât-mère de bourgeon de marronnier d’Inde bio (Aesculus hippocastanum) ; 50 mg de macérât-mère de bourgeon de châtaignier bio (Castanea sativa) ; antiagglomérant : poudre de talc ; gélule : hypromellose.
Ne pas dépasser la dose journalière recommandée. Tenir hors de portée des jeunes enfants. Ce complément alimentaire ne se substitue pas à une alimentation variée et équilibrée ni à un mode de vie sain. Ce produit est déconseillé aux enfants de moins de 6 ans, aux femmes enceintes ou allaitantes. Les personnes sous contrôle médical et notamment sous anticoagulants doivent demander conseil à leur pharmacien ou à leur médecin. Ne convient pas aux personnes allergiques à l’un des constituants. Complément alimentaire.
Les principes actifs contenus dans les feuilles appartiennent au groupe des polyphénols, en particulier aux bioflavonoïdes (anthocyanes et proanthocyanidines ). Ce sont eux qui donnent aux feuilles des reflets rougeâtres à l’automne. C’est pour cela qu’on utilise le terme « vigne rouge ».
L'apparition du Ginkgo biloba remonte à près de 300 millions d'années. Il a survécu à tous les bouleversements de l’histoire, si bien qu'on le qualifie de "fossile vivant". C’est en Chine que l’on retrouve les ginkgo les plus âgés, ils auraient pour certains près de 4 000 ans. Il est une véritable force de la nature.
Les jeunes pousses du petit houx sont comestibles, par contre ce sont les baies qui sont toxiques, malgré leur rouge flamboyant. Le rhizome est utilisé depuis l’Antiquité séché ou broyé, car c’est celui qui concentre le plus de principes actifs. Il permet à la plante de résister aux crues éventuelles, et de se cramponner à la terre.
On l’appelle « Oreille de souris », « Herbe à l’épervier » ou Veluette, et en latin « Hieracium pilosella ». Selon une légende, certains oiseaux de chasse dont l’épervier (Hierac en grec) mangeaient ses graines pour être meilleurs chasseurs et améliorer notamment leur vision.
L’origine géographique du citron se situerait a priori au Kashmir (aux confins de la Chine et de l’Inde), il y a environ 3000 ans. Il voyagea ensuite sur la route de la soie jusqu’au Moyen-Orient. Les Hébreux le découvrent alors et le plantent durant la captivité de Babylone pour en faire le symbole de la perfection et de la beauté.
C’est le symbole d’Apollon. Il est dit que son premier amour, Daphné, nymphe de la mythologie fut métamorphosée en laurier. Dès lors, Apollon en fit son arbre de prédilection et le consacra aux chants, aux triomphes et aux poèmes.
Il n'est pas originaire d'Inde comme son nom commun pourrait le faire croire, mais des Balkans, et il fut introduit à Constantinople en 1557. Selon certains courants ésotériques ou écologistes, comme les tree huggers (les "embrasseurs d'arbres"), le contact étroit avec un marronnier serait à la fois tonifiant et source de calme et d'équilibre intérieur.
Il est principalement cultivé dans les régions montagneuses, où les céréalières sont difficiles, voire impossibles. A l’époque, la châtaigne, ou « viande du pauvre », composait l’aliment de base des repas des plus humbles. Aujourd’hui, elle accompagne les repas de fêtes.
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